L'AVEU
Manuel Valls est passé aux aveux. En 2014 la croissance sera encore plus faible que prévu. Conséquence le chômage s’aggravera, et Michel Sapin, le mois où il constatera 10.000 demandeurs d’emploi en plus nous dira « c’est mieux que 20.000 ».
2ème conséquence : les recettes fiscales s’amenuiseront, et Christian Eckert dénichera encore un filon à exploiter, quelques contribuables à pressuriser, il appellera ça « faire des économies ».
Le premier ministre constate le naufrage et nous assène « il faut réformer » sauf que, comme le ténor sur la scène de l’Opéra qui chante « marchons » et reste en place, il ne fera rien.
Nous le savons, nous crevons du Code du travail de celui des impôts, de la sécu, de l’urbanisme, de tout ce fatras d’interdits et de prescriptions qui font que tout est obligatoire, et le reste interdit ! (n’est-ce pas la définition d’une Société totalitaire ?)
Le bateau coule, tout le monde aux canots, JM Ayrault et Moscovici à Bruxelles.